Marchand de rêve Ou Chasseur de cauchemar
Je suis marchand de rêve ou chasseur de cauchemar,
Mon maître m’a choisi lors d’une nuit noire.
Il est venu chez moi, s’introduire dans ma ville.
Et m’a bien prévenu d’un avenir difficile.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
Il m’a tout enseigné, et du corps et de l’âme.
Des moutons nuageux qu’il faut que nous comptâmes.
Des plongeons audacieux dans des esprits douteux,
Afin de transformer les rêves belliqueux.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
Je sais sans GPS retrouver les carrières,
De sable et de graviers pour mon magistère.
C’est avec ceux-là qu’il n’y a plus de frontière.
Jetant sur les cauchemars, un grain, une poussière.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
Chaque soir, chaque nuit, je vire des cauchemars,
Je bouscule, j’éradique les rêves indélicats,
Jusqu’à ce qu’ils prennent une allure d’apparat.
J’ai du mal quelquefois à me mettre au plumard.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
J’aime voir se convertir les phantasmes en doux rêves.
Un soir pourtant, je suis passé rapidement dans une violente tempête.
C’était un ouragan ! Chez notre président ! Il en a plein la tête.
J’ai mis beaucoup de temps à réformer son rêve.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
Je lui ai expliqué que c’est un beau métier, qu’il n’y a pas de chômage.
Qu’il pourrait, s’il le veut, en faire l’apprentissage.
Mais il a refoulé mes propos sans ambages.
Préférant méditer, seul, dans sa cage.
x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x-x
Ce métier me fait apprécier la beauté de la vie.
L’humanité réclame l’évasion et le rêve.
Quand il y a tant de tumulte, de tuerie.
Pour cela, je suis « sur le métier » sans trêve.
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Je suis marchand de rêve ou chasseur de cauchemar,
Mon maître m’a choisi lors d’une nuit noire.
Il est venu chez moi, s’introduire dans ma ville.
Et m’a bien prévenu d’un avenir difficile.
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Il m’a tout enseigné, et du corps et de l’âme.
Des moutons nuageux qu’il faut que nous comptâmes.
Des plongeons audacieux dans des esprits douteux,
Afin de transformer les rêves belliqueux.
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Je sais sans GPS retrouver les carrières,
De sable et de graviers pour mon magistère.
C’est avec ceux-là qu’il n’y a plus de frontière.
Jetant sur les cauchemars, un grain, une poussière.
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Chaque soir, chaque nuit, je vire des cauchemars,
Je bouscule, j’éradique les rêves indélicats,
Jusqu’à ce qu’ils prennent une allure d’apparat.
J’ai du mal quelquefois à me mettre au plumard.
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J’aime voir se convertir les phantasmes en doux rêves.
Un soir pourtant, je suis passé rapidement dans une violente tempête.
C’était un ouragan ! Chez notre président ! Il en a plein la tête.
J’ai mis beaucoup de temps à réformer son rêve.
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Je lui ai expliqué que c’est un beau métier, qu’il n’y a pas de chômage.
Qu’il pourrait, s’il le veut, en faire l’apprentissage.
Mais il a refoulé mes propos sans ambages.
Préférant méditer, seul, dans sa cage.
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Ce métier me fait apprécier la beauté de la vie.
L’humanité réclame l’évasion et le rêve.
Quand il y a tant de tumulte, de tuerie.
Pour cela, je suis « sur le métier » sans trêve.
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